La surf music apparaît au début des années 60 en Californie. A l'origine, elle n'est pas véritablement un genre particulier, mais simplement du rock'n'roll instrumental habité par la culture californienne du surf. Le rock'n'roll instrumental connaît à l'époque son heure de gloire grâce à des guitaristes ou groupes comme Duane Eddy, Link Wray ou The Ventures.
C'est surtout le groupe Dick Dale et les Del-Tones qui lance véritablement la mode de la Surf music avec Let's Go Trippin' en 1961, puis avec Misirlou en 1962. Le groupe formé à Orange County, en Californie est très influencé par la culture locale du surf. Dick Dale est d'ailleurs lui-même un surfeur. Dans son sillage apparaissent de nombreux groupes comme The Challengers, The Chantays ou Eddie and The Showmen, Dave Myers et la mode de la surf music est lancée.
Musicalement, la surf music se distingue par certaines caractéristiques : morceaux instrumentaux (notamment au début du mouvement ; les Shadows seront souvent considérés comme des pionniers de la surf music), prédominance de la guitare (principalement la marque Fender : Stratocaster, Jazzmaster ou Jaguar ; Dick Dale aurait d'ailleurs préféré le son des Fender après avoir essayé une Gibson), usage de la réverbération et du vibrato/ trémolo, rythme rapide de la batterie en 4/4. La surf music s'inspire aussi des sonorités latines (beaucoup de musiciens mexicains vivent en Californie) et du rythme agressif du jazz à la batterie. De nombreuses musiques traditionnelles comme Perfidia, Greensleeves ou Miserlou seront adaptées.
Le son caractéristique de la surf music est censé évoquer le glissement sonore de la planche de surf sur la vague. La gamme pentatonique du blues est très souvent utilisée par les guitaristes solistes.
La surf music évolue ensuite à partir de 1963 et devient vocale avec notamment les Beach Boys, qui vont véritablement populariser le style et lui faire acquérir une audience internationale. La popularité des Beach Boys va les faire passer à tort comme les inventeurs du style et entraîner un certain engouement pour cette musique. Leurs chansons sont très souvent élaborées, avec des chœurs et harmonies complexes. Les paroles évoquent la vie facile du surfer, préoccuper de filles, le soleil, le surf et les grosses voitures américaines dans lesquelles il s'en va draguer (cruising).
La mode s’étend rapidement de 1962 à 1963 et des groupes comme Jan & Dean, The Ventures, The Rivieras et The Surfaris ou The Tornadoes (ou Tornados en Angleterre) connaissent leurs heures de gloire. De nombreux titres comme Wipe Out (de The Surfaris), Walk Don't Run (de The Ventures), Pipeline (de The Chantays) ou Bombora (du groupe australien The Atlantics), se placent dans les charts internationaux. L'engouement pour la Surf Music est tel que certains groupes comme les Trashmen (argot américain signifiant en français "éboueurs"), originaires de Minneapolis et auteurs de Surfin’Bird en 1963 (4e aux États-Unis), chantent la Surf Attitude alors qu'ils se situent à plus de 1000 kilomètres de l'océan...
La scène surf servit souvent de tremplin à de nombreux musiciens et producteurs (dont Lou Adler et Gary Usher), qui y firent leurs premières armes avant de se reconvertir vers d’autres genres.
La surf music s'essouffle à partir de 1964 et disparaît des sommets des hit-parades vers 1964-65 avec l’engouement du public américain pour la musique venue de Grande-Bretagne (Beatles, Rolling Stones et Who). La British Invasion incarne les changements de goût du public et peu de groupes américains y survivront. Les Beach Boys seront l'un des rares groupes de surf music à rivaliser avec les groupes britanniques mais en s'orientant définitivement vers la pop music et en s'écartant de la culture surf.
La Surf music fut à partir de là, décriée parce qu'elle était associée à une culture de jeune blanc américain insouciant (filles, soleil, voitures et surf), ce qui cadrait mal avec les préoccupations du pays, plongé dans la guerre du Viêt Nam et dans divers conflits impliquant la jeunesse (révoltes étudiantes, revendication des noirs, etc). Alors que la musique se radicalise et prend même une tournure politique, la Surf Music apparaît comme le symbole d'une culture très ethnocentrée, soumise à l'establishment et garant d'un "way of life" très fidèle aux valeurs américaines.
Dans Third Stone from the Sun, Jimi Hendrix dit :
« You'll never hear surf music again.»
(« Vous n'entendrez plus jamais de surf music. ») Les interprétations de cette phrase varient. Dick Dale était gravement malade à l'époque et Hendrix croyait qu'il était mort, ce qui aurait mis un terme à la surf music. L'autre version est relative à l'annulation d'un concert des Beach Boys lors d'un festival, Hendrix aurait voulu signifier que plus personne n'allait s'intéresser à ce groupe après cet épisode.
En 1968, les Beatles rendront hommage aux Beach Boys et de la Surf Music avec la chanson Back In U.S.S.R., une parodie du très chauvin Back In The USA de Chuck Berry, dans le style des Beach Boys pour lesquels ils ont une grande admiration depuis leur album Pet Sounds.
À partir de la fin des années 1970, la surf music va connaître un regain d'intérêt de la part des groupes issus de la vague punk comme en témoignent les reprises de Surfin'Bird, Wipe Out ou de California Sun par des groupes comme les Ramones ou les Toy Dolls. Certains styles de musique issus du punk, comme le Psychobilly, s'inspirent musicalement d'ailleurs de manière très ouverte, de la surf music. Le skate punk, par son énergie, son sens de la mélodie, son lieu de naissance (la Californie), et la culture dans laquelle elle baigne (skate, surf et autres sports de glisse « fun ») a aussi une certaine filiation avec la surf music.
Même si le succès n’est plus au rendez-vous, le genre garde un certain caractère populaire et réapparaît épisodiquement, parfois dans des endroits inattendus. Il faut signaler un revival à Londres au début des années 1980 avec The Barracudas, puis The Surfin' Lungs et enfin Sir Bald Diddley. Un autre retour a lieu aux États-Unis dans les années 1980, avec Jon and The Nightriders et dans les années 1990, avec The Aqua-Velvets, Los Straitjackets avec Eddie Angel à la guitare et Rudy and The Surf Kings. Les titres Miserlou [2] de Dick Dale, Bustin' Surfboards de The Tornadoes (1962), The Bullwinkle part. II de The Centurions, Comanche de The Revels ou encore Surf Rider de The Lively Ones figurent dans la bande originale de Pulp Fiction de Quentin Tarantino en 1994 (film qui a relancé un certain engouement pour le style).
La surf music eut une influence sur de nombreux groupes, au fil des années, même si leur son semble parfois éloigné du modèle original avec, par exemple : The Ramones, dans l’esprit des chansons courtes, rapides et mélodiques et dans leurs reprises (Surfin’ bird, California sun), Pixies, Radio Birdman en Australie, Go-Go's ainsi que de nombreux autres.
Il existe encore de nos jours des groupes jouant de la surf music, mais le courant reste extrêmement confidentiel, et sans apport significatif au style initial. Malgré tout il est important de signaler l'existence en France de groupes qui contribuent à la continuité de ce mouvement tels les Orientals, les Wangs, les Suspenders, les Arondes, les Stèles, les Tsunamis, les Cavaliers[réf. nécessaire] ou encore les plus connus du genre, les Hawaii Samurai (Nasty Samy de Second Rate à la basse), ainsi que le label rouennais Marabunta Records.
Singles et albums de référenceTitres emblématiques de surf music instrumental
Misirlou, Dick Dale and The Del-Tones, 1962
Bombora, The Atlantics, 1963
Pipeline, The Chantays, 1963
Walk Don't Run, The Ventures, 1964
Le style évolue ensuite dès 1962-1963 et devient aussi vocal avec notamment :
The Beach Boys,
Surfin’Safari, 1962
Surfin’ USA, 1963
Surfer Girl, 1963
California Girls, 1965
Jan & Dean, Surf City, 1963 "The Laurel and Hardy of the surf set" (Jan Berry et Dean Torrence)
The Fantastic Baggies, Album Surfin’ Craze, 1964
The Rivieras, California Sun, 1964 (une reprise d'une chanson créée par Joe "You Talk Too Much" Jones en 1961)
The Surfaris, Wipe Out / Surfer Joe, 1963
409 en 1962 et Little Deuce Coupe en 1963 des Beach Boys
Hey Little Cobra de The Rip Chords en 1963
Competition Coupe de The Astronauts en 1963
Hot Rod U.S.A. de The Rip Chords en 1964
G.T.O. (Pontiac) de Ronnie and The Daytonas en 1964
Hotrod High de The Knights en 1964
Move Out Little Mustang de The Rally Packs en 1964
Surf Route 101 et '54 Corvette de The Super Stocks en 1964
Bucket "T" de Jan & Dean en 1965, et beaucoup d'autres.
et les motos (bikes) avec notamment: (par thèmes)
Little Honda The Beach Boys ; The Super Stocks en 1964
Honda Bike The Devons en 1964
My Buddy Seat The Surfaris en 1964
The Surf Set (3 Disc Anthology) [compilation], Sequel Records-Knight/Records Ltd (Castle Communications NXT CD 249, RU, 1993 [72 original tracks from the surf and hot rod era]
King Of The Surf Guitar / The Best Of Dick Dale & His DEL-TONES, Rhino/Warner Music Canada, R2 75756, 1989 (compil 1961-1987)
Calling Up Spirits, Dick Dale, Beggars Banquet Records BBLCD184 ("HDCD"), 1996
Jivin' Around, Al Casey with The K-C-Ettes (Stacy "Records" 1961-1963), ace CDCHD 612, RU, 1995 (contient le légendaire "Surfin' Hootenanny", sorti en 1963, Stacy 962 [Johnny Hallyday avec Joey and The Showmen "Les Guitares Jouent").
"Les Guitares jouent"
Surfin' Bird, The Trashmen, Garrett Records LP GA/GAS → [stéréo]-2001, EU, 1964
Bird Dance Beat / Baja, The Trashmen, Garrett Records, EU, 1964 (LPs GA-30019 et GA-40019, Minesota, EU, 1964)
Surf Party (compil), Ariola Express/BMG Ariola 295 720(-201), 1990, contient 5 titres enregistrés lors du Live Aid le 13/07/1985 : Surf City, Honolulu Lulu, Sidewalk Surfin', Barbara Ann et Ride the wild surf.
Greatest Hits (compil 1958-65), Jan & Dean, Duchesse CD 352062, 1989, contient un live de Barbara Ann au Live Aid, EU, 13/07/1985 CD pirate
Merci à Wikipédia pour ces infos, et n'hésitez pas à compléter ce poste avec vos apports perso
C'est surtout le groupe Dick Dale et les Del-Tones qui lance véritablement la mode de la Surf music avec Let's Go Trippin' en 1961, puis avec Misirlou en 1962. Le groupe formé à Orange County, en Californie est très influencé par la culture locale du surf. Dick Dale est d'ailleurs lui-même un surfeur. Dans son sillage apparaissent de nombreux groupes comme The Challengers, The Chantays ou Eddie and The Showmen, Dave Myers et la mode de la surf music est lancée.
Musicalement, la surf music se distingue par certaines caractéristiques : morceaux instrumentaux (notamment au début du mouvement ; les Shadows seront souvent considérés comme des pionniers de la surf music), prédominance de la guitare (principalement la marque Fender : Stratocaster, Jazzmaster ou Jaguar ; Dick Dale aurait d'ailleurs préféré le son des Fender après avoir essayé une Gibson), usage de la réverbération et du vibrato/ trémolo, rythme rapide de la batterie en 4/4. La surf music s'inspire aussi des sonorités latines (beaucoup de musiciens mexicains vivent en Californie) et du rythme agressif du jazz à la batterie. De nombreuses musiques traditionnelles comme Perfidia, Greensleeves ou Miserlou seront adaptées.
Le son caractéristique de la surf music est censé évoquer le glissement sonore de la planche de surf sur la vague. La gamme pentatonique du blues est très souvent utilisée par les guitaristes solistes.
La surf music évolue ensuite à partir de 1963 et devient vocale avec notamment les Beach Boys, qui vont véritablement populariser le style et lui faire acquérir une audience internationale. La popularité des Beach Boys va les faire passer à tort comme les inventeurs du style et entraîner un certain engouement pour cette musique. Leurs chansons sont très souvent élaborées, avec des chœurs et harmonies complexes. Les paroles évoquent la vie facile du surfer, préoccuper de filles, le soleil, le surf et les grosses voitures américaines dans lesquelles il s'en va draguer (cruising).
La mode s’étend rapidement de 1962 à 1963 et des groupes comme Jan & Dean, The Ventures, The Rivieras et The Surfaris ou The Tornadoes (ou Tornados en Angleterre) connaissent leurs heures de gloire. De nombreux titres comme Wipe Out (de The Surfaris), Walk Don't Run (de The Ventures), Pipeline (de The Chantays) ou Bombora (du groupe australien The Atlantics), se placent dans les charts internationaux. L'engouement pour la Surf Music est tel que certains groupes comme les Trashmen (argot américain signifiant en français "éboueurs"), originaires de Minneapolis et auteurs de Surfin’Bird en 1963 (4e aux États-Unis), chantent la Surf Attitude alors qu'ils se situent à plus de 1000 kilomètres de l'océan...
La scène surf servit souvent de tremplin à de nombreux musiciens et producteurs (dont Lou Adler et Gary Usher), qui y firent leurs premières armes avant de se reconvertir vers d’autres genres.
La surf music s'essouffle à partir de 1964 et disparaît des sommets des hit-parades vers 1964-65 avec l’engouement du public américain pour la musique venue de Grande-Bretagne (Beatles, Rolling Stones et Who). La British Invasion incarne les changements de goût du public et peu de groupes américains y survivront. Les Beach Boys seront l'un des rares groupes de surf music à rivaliser avec les groupes britanniques mais en s'orientant définitivement vers la pop music et en s'écartant de la culture surf.
La Surf music fut à partir de là, décriée parce qu'elle était associée à une culture de jeune blanc américain insouciant (filles, soleil, voitures et surf), ce qui cadrait mal avec les préoccupations du pays, plongé dans la guerre du Viêt Nam et dans divers conflits impliquant la jeunesse (révoltes étudiantes, revendication des noirs, etc). Alors que la musique se radicalise et prend même une tournure politique, la Surf Music apparaît comme le symbole d'une culture très ethnocentrée, soumise à l'establishment et garant d'un "way of life" très fidèle aux valeurs américaines.
Dans Third Stone from the Sun, Jimi Hendrix dit :
« You'll never hear surf music again.»
(« Vous n'entendrez plus jamais de surf music. ») Les interprétations de cette phrase varient. Dick Dale était gravement malade à l'époque et Hendrix croyait qu'il était mort, ce qui aurait mis un terme à la surf music. L'autre version est relative à l'annulation d'un concert des Beach Boys lors d'un festival, Hendrix aurait voulu signifier que plus personne n'allait s'intéresser à ce groupe après cet épisode.
En 1968, les Beatles rendront hommage aux Beach Boys et de la Surf Music avec la chanson Back In U.S.S.R., une parodie du très chauvin Back In The USA de Chuck Berry, dans le style des Beach Boys pour lesquels ils ont une grande admiration depuis leur album Pet Sounds.
À partir de la fin des années 1970, la surf music va connaître un regain d'intérêt de la part des groupes issus de la vague punk comme en témoignent les reprises de Surfin'Bird, Wipe Out ou de California Sun par des groupes comme les Ramones ou les Toy Dolls. Certains styles de musique issus du punk, comme le Psychobilly, s'inspirent musicalement d'ailleurs de manière très ouverte, de la surf music. Le skate punk, par son énergie, son sens de la mélodie, son lieu de naissance (la Californie), et la culture dans laquelle elle baigne (skate, surf et autres sports de glisse « fun ») a aussi une certaine filiation avec la surf music.
Même si le succès n’est plus au rendez-vous, le genre garde un certain caractère populaire et réapparaît épisodiquement, parfois dans des endroits inattendus. Il faut signaler un revival à Londres au début des années 1980 avec The Barracudas, puis The Surfin' Lungs et enfin Sir Bald Diddley. Un autre retour a lieu aux États-Unis dans les années 1980, avec Jon and The Nightriders et dans les années 1990, avec The Aqua-Velvets, Los Straitjackets avec Eddie Angel à la guitare et Rudy and The Surf Kings. Les titres Miserlou [2] de Dick Dale, Bustin' Surfboards de The Tornadoes (1962), The Bullwinkle part. II de The Centurions, Comanche de The Revels ou encore Surf Rider de The Lively Ones figurent dans la bande originale de Pulp Fiction de Quentin Tarantino en 1994 (film qui a relancé un certain engouement pour le style).
La surf music eut une influence sur de nombreux groupes, au fil des années, même si leur son semble parfois éloigné du modèle original avec, par exemple : The Ramones, dans l’esprit des chansons courtes, rapides et mélodiques et dans leurs reprises (Surfin’ bird, California sun), Pixies, Radio Birdman en Australie, Go-Go's ainsi que de nombreux autres.
Il existe encore de nos jours des groupes jouant de la surf music, mais le courant reste extrêmement confidentiel, et sans apport significatif au style initial. Malgré tout il est important de signaler l'existence en France de groupes qui contribuent à la continuité de ce mouvement tels les Orientals, les Wangs, les Suspenders, les Arondes, les Stèles, les Tsunamis, les Cavaliers[réf. nécessaire] ou encore les plus connus du genre, les Hawaii Samurai (Nasty Samy de Second Rate à la basse), ainsi que le label rouennais Marabunta Records.
Singles et albums de référenceTitres emblématiques de surf music instrumental
Misirlou, Dick Dale and The Del-Tones, 1962
Bombora, The Atlantics, 1963
Pipeline, The Chantays, 1963
Walk Don't Run, The Ventures, 1964
Le style évolue ensuite dès 1962-1963 et devient aussi vocal avec notamment :
The Beach Boys,
Surfin’Safari, 1962
Surfin’ USA, 1963
Surfer Girl, 1963
California Girls, 1965
Jan & Dean, Surf City, 1963 "The Laurel and Hardy of the surf set" (Jan Berry et Dean Torrence)
The Fantastic Baggies, Album Surfin’ Craze, 1964
The Rivieras, California Sun, 1964 (une reprise d'une chanson créée par Joe "You Talk Too Much" Jones en 1961)
The Surfaris, Wipe Out / Surfer Joe, 1963
409 en 1962 et Little Deuce Coupe en 1963 des Beach Boys
Hey Little Cobra de The Rip Chords en 1963
Competition Coupe de The Astronauts en 1963
Hot Rod U.S.A. de The Rip Chords en 1964
G.T.O. (Pontiac) de Ronnie and The Daytonas en 1964
Hotrod High de The Knights en 1964
Move Out Little Mustang de The Rally Packs en 1964
Surf Route 101 et '54 Corvette de The Super Stocks en 1964
Bucket "T" de Jan & Dean en 1965, et beaucoup d'autres.
et les motos (bikes) avec notamment: (par thèmes)
Little Honda The Beach Boys ; The Super Stocks en 1964
Honda Bike The Devons en 1964
My Buddy Seat The Surfaris en 1964
The Surf Set (3 Disc Anthology) [compilation], Sequel Records-Knight/Records Ltd (Castle Communications NXT CD 249, RU, 1993 [72 original tracks from the surf and hot rod era]
King Of The Surf Guitar / The Best Of Dick Dale & His DEL-TONES, Rhino/Warner Music Canada, R2 75756, 1989 (compil 1961-1987)
Calling Up Spirits, Dick Dale, Beggars Banquet Records BBLCD184 ("HDCD"), 1996
Jivin' Around, Al Casey with The K-C-Ettes (Stacy "Records" 1961-1963), ace CDCHD 612, RU, 1995 (contient le légendaire "Surfin' Hootenanny", sorti en 1963, Stacy 962 [Johnny Hallyday avec Joey and The Showmen "Les Guitares Jouent").
"Les Guitares jouent"
Surfin' Bird, The Trashmen, Garrett Records LP GA/GAS → [stéréo]-2001, EU, 1964
Bird Dance Beat / Baja, The Trashmen, Garrett Records, EU, 1964 (LPs GA-30019 et GA-40019, Minesota, EU, 1964)
Surf Party (compil), Ariola Express/BMG Ariola 295 720(-201), 1990, contient 5 titres enregistrés lors du Live Aid le 13/07/1985 : Surf City, Honolulu Lulu, Sidewalk Surfin', Barbara Ann et Ride the wild surf.
Greatest Hits (compil 1958-65), Jan & Dean, Duchesse CD 352062, 1989, contient un live de Barbara Ann au Live Aid, EU, 13/07/1985 CD pirate
Merci à Wikipédia pour ces infos, et n'hésitez pas à compléter ce poste avec vos apports perso